Ils avaient été recrutés il y a deux ans. La direction explique que cette décision était nécessaire parce que cette unité faisait face à des difficultés économiques.
De sources internes, il nous revient que le licenciement serait dû à une mauvaise gestion au sein de cette unité. «La direction s’est retrouvée avec un surplus de techniciens dans le garage et, en même temps, la section connaît des difficultés économiques», affirme Joanna Dorza, directrice des ressources humaines chez Axess. Cette société représente plusieurs marques, dont Citroën et Peugeot ,qu’elle a reprises d’Iframac.
Ce licenciement a créé un sentiment de peur chez les employés. Le directeur général d’Axess aurait rencontré le personnel pour le rassurer. Antoine d’Unienville aurait également insisté sur le fait que l’arrivée des employés d’Iframac n’était pas ce qui avait motivé ce licenciement. Dans la même logique de réduire ses coûts, le service après-vente s’est séparé de trois stagiaires ainsi que de trois employés qui atteignaient l’âge de la retraite.