Cette nouvelle technologie a pour but d'améliorer la performance et la consommation des moteurs de véhicule tout les gardant propres. Vivo Energy (Mauritius) a procédé au lancement officiel de cette dernière génération de carburants Shell à la maison Eureka, en présence notamment du ministre du Commerce, Ashit Gungah, et des opérateurs du secteur du carburant.
Le nouveau produit Shell, le FuelSave, comprend ainsi la technologie la plus avancée sur le marché. Dynaflex contient des propriétés qui permettent de nettoyer le moteur pour avoir un meilleur rendement, que ce soit pour le diesel ou pour l'essence. Cette nouvelle technologie a été façonnée par les équipes de scientifiques de Shell International avec pour objectif l'efficacité et l'adaptation aux nouveaux besoins des moteurs de plus en plus exigeants. Cette nouvelle technologie est le fruit de dix années d'essai réalisé sur plus de 3 millions de kilomètres et 170 véhicules. « La marque Shell développe en permanence sa gamme de carburants conformément aux innovations des moteurs de véhicules modernes et aux besoins des consommateurs », a expliqué Kiran Juwaheer, Managing Director de Vivo Energy (Mauritius). S'agissant de la mise à disposition de cette nouvelle technologie, il a souligné que « cela témoigne de notre ferme engagement à proposer des produits de qualité supérieure dans nos stations-service ».
Le ministre du Commerce, Ashit Gungah, a pour sa part soutenu que ce nouveau produit « est une avancée pour les moteurs de véhicule ». Car cette nouvelle technologie permet de garder le moteur propre, augmente sa performance, en maintenant la consommation sous contrôle. Et le ministre d'ajouter : « C'est une belle avancée dans le secteur automobile ».
Ashit Gungah devait, lors de son allocution, faire état de l'achèvement des travaux du Mer Rouge Oil Storage Terminal pour le stockage de carburant. « Nous aurons désormais 30 jours pour le stockage d'essence et 27 jours pour le stockage du diesel. On peut dire désormais qu'il y a une "security of supply" car auparavant on ne pouvait que stocker l'essence sur trois jours et le diesel sur sept à huit jours. Il y a eu des situations, avec le mauvais temps, où l'on ne pouvait stocker que pour un jour. Imaginez ce qui se serait passé pour le pays si ce projet n'avait pas été mis sur pied ». Le ministre a rappelé que « le nombre de véhicules sur nos routes augmente d'année en année et que la consommation de produits pétroliers augmente de 5 à 6 % chaque année ».