Ena Sime- l’ouverture des frontières : les taxis d’hôtels en mode ‘stand-by’

il y a 3 années, 4 mois - 16 Juillet 2021, Inside News
Ena Sime- l’ouverture des frontières : les taxis d’hôtels en mode ‘stand-by’
Réouverture des frontières : Manifestation des chauffeurs de taxi basés à l’aéroport hier matin

Le président de la « Federation of Hotel Taxis Association » Yashpal Murrakhun, a fourni des explications sur le mode opératoire des taxis d’hôtels à la réouverture des frontières.

Il dira que les taxis d’hôtels seront opérationnels à partir du 1er octobre. Ce service a chômé pendant 18 mois et les chauffeurs entre-temps ont perçu une aide financière de l’état à travers le « Self-Employed Assitance Scheme. »

Dans son intervention, dans l’émission Ena Sime, animée par Krsna Coopoosamy, Dhiren Moher et Daniel Ramchurn, hier, mercredi 14 juillet, Yashpal Murrakhun a abordé la formation, financée par l’Union européenne aux taximen, ce qui permettra, selon lui, plus de visibilité.

Il dira que la fédération a mis en place une plateforme digitale afin de faciliter les réservations.

La « Federation of Hotel Taxis Association » regroupe 1 044 taxis à ce jour.

Réouverture des frontières : Manifestation des chauffeurs de taxi basés à l’aéroport hier matin

Munis de pancartes, les membres de la SSR Airport Taxi Association étaient à l’entrée de l’aéroport pour exprimer leur mécontentement de ne pas pouvoir opérer durant la première phase de réouverture des frontières. Seuls deux tours opérateurs assureront le transport des visiteurs de l’aéroport jusqu’à leurs hôtels. 72 taximen sont concernés

Les membres de la General Taxi Owner Union,ainsi que d’autres taximen et activistes déplorent le fait qu’ils n’ont pas le droit d’exercer. Ils estiment que le ministre du Tourisme fait la sourde oreille face à leur situation.

Asraf Ali Ramdin, secrétaire de la General Taxi Owner Union affirme également que les chauffeurs opérant à partir de l’aéroport auraient dû avoir le droit d’effectuer les transferts entre l’aéroport, les centres de quarantaine et les hôtels.

Asraf Ali Ramdin, estime par ailleurs que les autorités concernées ne font que protéger les “petits copains’.