« Ils sont là depuis de nombreuses années et peuvent tomber à n’importe quel moment à cause du vent ou pendant le passage d’un cyclone. Les pylônes électriques représentent également un danger et peuvent aussi faire de dégâts », a fait remarquer Ben Romaldawo qui a demandé à la Beach Authority de les remplacer par des plantes indigènes sur la plage.
Des membres des forces vives ont aussi demandé au directeur de la Beach Authority de prendre en charge les skippers et d’aménager des infrastructures sur la plage selon les normes et qui leur permettront d’accueillir les touristes.
Le directeur de la Beach Authority a annoncé aux représentants des forces vives qu’un plan était en préparation pour restructurer la plage, revoir l’aire de stationnement, la restauration, les activités pour les sportifs et les personnes handicapées. Etaient présents lors de cette visite Gérard Paya, membre des forces vives, Burny Wade, membre du conseil de district de Rivière-Noire, Dass Chenadoo du temple de Flic-en-Flac, Gaëtan Inassee et des membres de la Beach Authority.
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