
Les droits d’accise et de douane ont été revus à la hausse, notamment pour les véhicules thermiques, variant entre 45 % et 100 %, tandis que ceux concernant sur les hybrides et les électriques ont été réintroduits.
Interrogé sur ces mesures, le ministre du Transport, Osman Mahomed, a défendu des décisions « nécessaires » et alignées sur la transition écologique. Il a souligné que sans recharge par panneaux photovoltaïques, les voitures électriques dépendent du réseau du CEB (Central Electricity Board), largement alimenté au charbon, ce qui accentue la demande en électricité et les émissions polluantes.
Le ministre a également rappelé que le parc automobile a augmenté de 46 %, tandis que la qualité de l’air s’est dégradée. Par ailleurs, le nombre d’accidents de la route a aussi connu une hausse significative.
Nouvelles connexes