Les premières indications découlant de ce volet de l’enquête ont révélé que les transactions s’étendent sur la période de janvier 2020 à 2024 et qu’elles pourraient cacher des irrégularités dans les procédures d’approvisionnement.
Le directeur de cette entreprise, désormais dans le viseur de la FCC, devrait bientôt être interrogé afin de déterminer si les procédures d’allocation des contrats respectaient les normes légales ou si elles ont été manipulées pour favoriser sa compagnie. D’après les premiers éléments de l’enquête, la société en question aurait acheté des pièces de rechange à bas prix avant de les revendre à la CNT à des tarifs exorbitants, réalisant ainsi d’importants bénéfices.
Cette enquête, qui a connu de nouveaux développements en milieu de semaine, s’inscrit dans le cadre d’une investigation plus large menée par la FCC sur les contrats attribués à la CNT sous la direction de l’ancien directeur général Rao Ramah. Ce dernier, qui a récemment été convoqué par la commission pour un interrogatoire, est au centre de nombreuses interrogations portant sur la transparence et l’intégrité des procédures d’appel d’offres au cours de sa gestion, notamment ceux relatifs à l’approvisionnement d’uniformes, de matériel de sécurité, ainsi qu’à l’acquisition d’autobus. Les enquêteurs de la FCC s’intéressent également à l’achat de chaussures pour les employés et de roues pour les autobus, ainsi qu’aux contrats liés au projet de système de billetterie électronique (Electronic Ticketing Machine). Ils ont déjà récupéré des documents compromettants et plusieurs employés de la CNT ont été auditionnés.
Le contrat aurait été attribué entre 2020 et 2024 par la Compagnie Nationale de Transport (CNT) à une entreprise privée spécialisée dans les pièces de rechange.
Les premiers éléments suggèrent que des pratiques douteuses pourraient avoir eu lieu concernant l'attribution des contrats.
Le directeur de l'entreprise concernée, désormais dans le viseur de la FCC, devrait être bientôt interrogé pour déterminer si les procédures d'attribution des contrats étaient conformes aux normes légales.
Toujours, selon les informations préliminaires, cette entreprise aurait acheté des pièces de rechange à des prix bas, avant de les revendre à la CNT à des prix excessifs, générant ainsi des bénéfices considérables.
Cette investigation fait partie d'un dossier plus large que mène la FCC concernant les contrats attribués à la CNT sous la direction de l'ex-directeur général, Rao Ramah.
Ce dernier avait récemment été convoqué par la FCC pour un interrogatoire. Il est au cœur d'un certain nombre de préoccupations concernant la transparence et la régularité des appels d’offres pendant sa gestion.
Parmi les contrats sous enquête figurent ceux relatifs à l'approvisionnement d'uniformes, de matériel de sécurité et l'achat d'autobus.
Les enquêteurs s'intéressent également à l'achat de chaussures pour les employés, de roues pour les autobus et aux contrats liés à la mise en place d'un système de billetterie électronique.
Des documents ont déjà été récupérés, et plusieurs employés de la CNT ont été entendus dans le cadre de cette affaire.
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