Pas franchement jolie, mais plutôt informative, elle nous permet de découvrir d’un seul coup d’œil les graphismes utilisés à l’avant des véhicules dans une cinquantaine de pays.
Deux écoles principales se dessinent : les blancs et les jaunes. Cette dernière teinte demeure utilisée au Royaume-Uni (ainsi que sur l’Île-de-Man, Jersey ou Gibraltar), aux Pays-Bas et au Luxembourg. La plaque à fond noire – qui existait en France avant le 1er janvier 1993 – est encore en vigueur au Liechtenstein et sur l’île anglo-normande de Guernesey.
La plupart des pays ont également adopté la bande latérale bleue, même s’ils ne font pas partie de l’Union européenne. Exemple : la Norvège, la Serbie ou la Moldavie.
Certains Etats figurant sur cette carte ne sont même pas reconnus par la communauté internationale. A l’image de l’autoproclamée République populaire du Donetsk, née du conflit entre l’Ukraine et la Russie en 2014. On reconnaît le drapeau noir-bleu-rouge à cheval à la frontière entre les deux pays. Preuve que cette bonne vieille plaque d’immatriculation est encore un symbole clé de toute organisation qui entend devenir un Etat…
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