Irfan, un revendeur de la capitale explique que le secteur automobile a été doublement touché par la pandémie et le conflit russo-ukrainien, sans oublier notre monnaie qui a beaucoup déprécié. Il parle aussi de l’augmentation des prix concernant les matières premières.
Même son de cloche du côté de Lallmohamad, un autre revendeur. Il indique que depuis quelque temps, il ne fait que des déficits. Sur deux conteneurs, il peut enregistrer des pertes de Rs 400 000. Le comble, c’est qu’il n’y a aucune solution. Avec défaitisme, il fait ressortir que l’avenir est sombre pour ce secteur.