Le ministère du Logement et des Terres a demandé à l’hôtel Shandrani Resort & Spa en vue de lui accorder une portion de terre de 82 mètres sur 15 mètres pour aménager un nouveau taxi-stand.
Cela après que l’ancienne place a été détruite par des travaux de fouille de tranchées de la SMF dans la nuit du 8 octobre.
Bonne nouvelle pour les vingt-deux chauffeurs de taxi opérant à l’hôtel Shandrani Resort & Spa, Le Chaland. Après une rencontre avec un officier du ministère du Logement et des Terres, jeudi, le ministère a pris la décision de réclamer une portion de terre de 82 mètres par 15 mètres à l’hôtel pour aménager un nouveau taxi-stand.
L’ancienne place de taxis a été détruite par des éléments de la Special Mobile Force dans la nuit du mercredi 8 octobre, pour faire de la place pour une clôture du bâtiment de la National Coast Guard tout proche. La Shandrani Hotel Taxi Owners Association se réjouit. Son président, Ramesh Auckloo, explique au Défi Quotidien : « Nou apprécié ki gouvernement fine écoute nou. Reste à savoir si l’hôtel pou adhère à cette décision. Mo pas pensé ki zot pou ena objection. Nou taxi l’hôtel dépi 1990. »
Des chauffeurs lésés
Dans la nuit du 8 octobre, les 22 taximen de l’hôtel Shandrani ont été surpris de découvrir des travaux de fouille de tranchées sur leur base d’opération. Une situation qui a suscité leur colère. À l’antenne d’Xplik ou K, Ramesh Auckloo dénonce cette situation. «Cet emplacement nous a été octroyé dans les années 90 par la National Transport Authority. Aujourd’hui, nous n’avons plus de place. Depuis le 9 octobre, les 22 taximen concernés doivent se garer sur les deux côtés de la route menant à l’hôtel, non loin de l’entrée de la Coast Guard.» Le ministère du Logement et des Terres a suggéré une solution aux 22 chauffeurs de taxi lésés. La balle est maintenant dans le camp de l’hôtel Shandrani Resort & Spa.