Plus qu’une évolution, il s’agit d’un modèle totalement inédit et vient en complément de la version existante. Au programme, un style modernisé, des aspects pratiques revus, deux versions disponibles Active et Allure, le néo-rétro revient en force.
Lancé courant 2014 en deux cylindrées 50 et 125 cm3, le Peugeot Django est apparu dans la gamme comme un véhicule néo-rétro. Fortement inspiré du modèle S55 de 1953 avec ses lignes arrondies et allongées, il reprenait les codes des années 1950 et 1960. 2023 marque l’entrée au catalogue d’un modèle 100 % inédit tout en conservant ses traits stylistiques d’antan mais en plus modernes. La face avant reprend en toute logique les deux feux à led sous la forme de deux canines. La gamme Django Evo sera déclinée en deux versions : une entrée de gamme Active munie d’une motorisation refroidie par air et un modèle Allure équipé d’un moteur à refroidissement liquide. Petite surprise, pas de 50 cm3 (en tout cas pour l’instant) prévu mais un 125 cm3 et surtout un 150 cm3 destiné essentiellement aux marchés asiatiques.
La version AC (Air Cooled) dispose d’un bloc cubant à 124,8 cm3 d’une puissance de 10,6 chevaux à 7000 tr/mn. Doté de roues de 12 pouces, il embarque un disque à l’avant et à l’arrière avec un simple ABS. La selle culmine à 778 mm, altitude idéale pour tous les gabarits, d’autant que le plancher plat permet une position de conduite plus naturelle. Côté pratique, le coffre permet de loger un casque jet, tandis que la boîte à gants située dans le tablier peut accueillir quelques objets personnels.
Logiquement, la déclinaison LC (Liquid Cooled) est mieux équipée. Le moteur affiche une puissance de 12,9 chevaux à 8500 tr/mn et un couple de 12 Nm à 6500 tr/mn. La partie-cycle jouit d’un ABS à deux canaux. Le tableau de bord profite d’un écran TFT avec la plateforme connectée. La Smart Key est également de série, tout comme une prise USB disponible dans la boîte à gants.
Il faudra patienter jusqu’au troisième trimestre pour la commercialisation dans le réseau de concessions.
