Il se dit conscient qu'avec l'impact de la crise sanitaire dans le sillage de la pandémie de Covid-19, le quotidien des chauffeurs de taxis sera difficile. « Mais la hausse des prix n'est pas dans notre agenda. Konsomater lamem pena ek dimounn dan problem ».
Toutefois, Raffick Bahadoor déplore « l'absence de dialogue » du gouvernement avec les petits opérateurs. A l'instar des propriétaires des taxis qui traversent également une période creuse.
A cet effet, regrette-t-il, de nombreux chauffeurs de taxis n'ont pas eu de permis pour circuler « around the island ». Or, sans cette autorisation, ils ne peuvent opérer convenablement et peuvent être interpellés par la police.
« Kouma nou sipoze fer ek sa? », lance-t-il.
Il déplore également la limite de passagers autorisés par véhicule. « Mo met zot odefi vinn konfirm mwa ki ena enn met distans ant mwa ek dimoun a kote mwa-la ». Pour le président, cette mesure n'est pas logique.
Raffick Bahadoor demande également un moratoire d'un an pour ceux devant remplacer leurs véhicule : « Nou dan difikilte ».
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