La ministre a fait ainsi un plaidoyer pour un changement de mentalité des automobilistes. Car «un enfant meurt sur la route chaque 4 minutes dans le monde».
Elle a souligné que le ministère de l’Education peut se féliciter d’un programme sur la sécurité routière dans le cursus scolaire. Mais «cela ne suffit pas. La société civile a le devoir de mieux s’impliquer en ce sens.»
Mais déjà un premier pas : des cours sont dispensés aux enseignants pour qu’à leur tour, ils puissent inculquer les valeurs aux jeunes.
La ministre a aussi invité le secteur privé à être un des partenaires dans cette démarche visant à informer les jeunes des dangers sur la route et aussi sur le comportement et l’attitude à adopter. Ce serait dommage que des mesures soient prises au niveau du gouvernement sans que la population puisse être partie intégrante de cette transformation positive voulue, a conclu la ministre Leela Devi Dookun Luchoomun.
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