Voiture rouge vandalisée: le propriétaire s’en remet à la Human Rights Commission

Rajen Narsinghen a consigné une déposition au poste de police des Line Barracks, mardi 17 janvier. Il était accompagné de son homme de loi.

Cet ancien conseiller commercial à l'ambassade de Maurice à Genève et chargé de cours à l'université de Maurice ne compte pas abandonner ses démarches. Il envisage de faire parvenir une correspondance à la Human Rights Commission et de rencontrer le commissaire de police, Mario Nobin.

Selon des informations recueillies, l'incident s'est produit entre 19 h 30 et 22 heures, lundi. Notamment à des heures où le Central Criminal Investigation Department est interdit d'accès au public.

Cet incident survient après les échauffourées entre des partisans du Parti travailliste et des policiers au square Guy Rozemont. Si Rajen Narsinghen ne cache pas être un sympathisant du Parti travailliste, il soutient que ce n'est pas une raison valable pour vandaliser sa voiture. «On croyait que les Casernes centrales étaient un lieu sécurisé mais ce n'est pas le cas. Nous vivons dans un Etat policier.»