Réagissant peu après les conclusions de l’enquête judiciaire de la magistrate Ida Dookhy-Rambarrun sur l’accident de Sorèze, les syndicalistes montent ainsi au créneau pour dire leurs insatisfactions.
«Nous ne contredisons ni ne sous-estimons le jugement de la cour, mais c’est en dehors de sa juridiction de comprendre ce problème», explique Narendranath Gopee, président de la FCSOU. D’après ses dires, «la décision de faire porter le chapeau au chauffeur est déplacée car il n’est plus là pour se défendre». Le syndicaliste soutient également que, selon des experts, on ne peut se servir du frein à main à très grande vitesse. «Son utilisation pourrait endommager la carrosserie et le support, provoquant ainsi plus de dégâts», soutient-il.