Pour rappel, un autobus de cette coopérative, roulant en direction du Nord, a été saccagé par un groupe de jeunes qui manifestaient contre la vie chère.
Le secrétaire de la coopérative soutient que les dégâts ne sont pas que matériel mais aussi psychologiques sur les employés.
Anil Seeburrun accuse également les autorités de n’avoir pas communiqué des informations sur les routes impraticables en raison de ces hostilités.
« Un groupe de personnes a jeté des pierres sur le bus et a commencé à endommager le pare-brise et la vitre. Le chauffeur s'est échappé et a informé la police. Le coût des dommages est énorme. Ces événements sont effrayants et certains conducteurs ne sont même pas prêts à conduire après un tel événement. Je pense que la police aurait dû bien communiquer afin que les compagnies de bus n'empruntent pas ces routes. » avance Anil Seeburrun.
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