Pour l’heure, la vérification des véhicules par la National Transport Authority se fait manuellement, explique Gyandev Gunnoo, président du conseil d’administration de cette instance. Celle-ci en examine 400 par jour. Vu l’agrandissement du parc automobile, notre interlocuteur est d’avis qu’il «faut passer à l’ère technologique».
Les nouveaux opérateurs effectueront deux examens sur les véhicules. L’un sera visuel alors que l’autre se fera au moyen d’équipements high-tech et user-friendly. Les examinateurs prendront en considération huit points, dont la sécurité du véhicule, l’émission de CO2, l’alignement, le freinage (frein à bras et la pédale), la suspension et les feux.
Davantage de couloirs
Si auparavant les centres de contrôle de Forest-Side et Plaine-Lauzun n’avaient que deux et trois couloirs respectivement, le nombre a augmenté. Autocheck en est doté de onze dont trois destinés uniquement aux motocyclettes, contre sept – y compris un pour les deux-roues – à l’Eastern Vehicule Examination Station et à SGS Co. Ltd.