Sa stratégie est de revenir à l’essence. En effet, une partie de l’argent que Hertz récoltera servira à acquérir des véhicules avec moteur à combustion.
« La compagnie s’attend à ce que cette mesure vienne mieux équilibrer l’offre avec la demande anticipée pour les VÉ », a-t-elle déclaré dans un communiqué.
Dans les faits, Hertz a déjà commencé à se départir des 20 000 VÉ en question et le reste sera liquidé dans le courant de 2024.
En octobre dernier, le chef de la direction de l’entreprise, Stephen Scherr, avait prévenu d’une rationalisation du nombre de VÉ, représentant alors un peu plus de 10% de l’ensemble des véhicules Hertz. Du nombre, 80% étaient des Tesla.
En plus de la demande pour les VÉ qui ralentit aux États-Unis, Scherr avait évoqué les coûts de réparation plus élevés par rapport aux modèles à essence qui viennent gruger les profits.
« Hertz continuera d’exécuter sa stratégie en incluant les VÉ et en offrant une large sélection de véhicules », a-t-elle ajouté. Elle désire toujours travailler à développer l’infrastructure de recharge et à fournir des outils pour éduquer la clientèle.