Beaucoup se demande si les plaques d’immatriculation 3D sont légales.
Avec les nouveaux amendements de la Road Traffic Act qui seront bientôt présentés au parlement, beaucoup se demande si les plaques d’immatriculation 3D sont légales.
Selon Cyril Appajala, ancien adjoint au commissaire des transports à la National Transport Authority, la police ne peut émettre de contravention à un automobiliste si sa plaque obéit aux normes prescrites sous le Road Traffic (Construction and Use of Vehicles) Regulations 2010. C’est-à-dire, la plaque doit être rétro réfléchissant, alors que les caractères doivent mesurer entre 45 et 65 mm de haut et respecter entre eux une distance d’au moins 9 mm.
Ecoutez l’intervention de Cyril Appajala, ci-dessous.
Dans un amendement à la Road Trafic Act, le ministère des Transports terrestres et du métro léger avait proposé que plusieurs amendes soient revues à la hausse. Celle concernant les plaques d’immatriculation a fait polémique ces trois derniers jours. Le ministre de tutelle, Alan Ganoo, en conférence de presse, ce vendredi 21 juin, a annoncé que la loi n’a pas encore été votée et promulguée. Il a aussi déclaré que son ministère et le gouvernement écouteront les doléances de la population concernant ce projet de loi, tout en affirmant que le but du gouvernement est de réduire les délits et crimes liés à la Road Traffic Act entre autres.
Dans cette même lignée, il a informé que les sept délits liés aux plaques d’immatriculation seront tous revus à Rs 5 000 au lieu de Rs 25 000 comme annoncé. Le projet de loi sera en deuxième lecture au Parlement mardi prochain et sera voté ce jour-là. Ensuite, elle sera promulguée et « gazetted » pour qu’elle soit applicable.
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