
Prenant la parole, le député Osman Mahomed a souligné que la perte du privilège de conduire, à la suite d’une disqualification, demeure l’effet psychologique le plus fort pour encourager un véritable changement de comportement au volant. Il a rappelé qu’une distinction importante devait être faite entre une disqualification et une annulation : dans ce dernier cas, le conducteur doit repasser l’examen dans son intégralité.
Selon lui, la réintroduction du système de pénalité par points n’a rien d’un exercice de « Trial and Error », comme le faisait le précédent gouvernement avec le Road Traffic Offences Penalty Points Under Criminal Mauritius (CRTO).
« Ce projet de loi est le résultat d’une réflexion collective et approfondie, menée face à une préoccupation nationale urgente. Le modèle proposé aujourd’hui s’inspire de pratiques internationales jugées efficaces », a-t-il insisté.
Les débats sur le Road Traffic (Amendment) Bill reprendront le vendredi 12 décembre à 15h30.
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