« Sa fer plis ki kat mwa ki bann abitan finn atir latansion lorite lor sa bann gro trou ki reprezant enn gro danze pou bann otomobilis », dira Gérard, un maçon de Tamarin qui doit obligatoirement passer par la rue Jacarandas pour aller travailler à Chemin-Grenier. Il a dû économiser pendant deux ans pour s’acheter une voiture d’occasion.
« L’année dernière, j’ai changé les pneus, les jantes, les roues et les suspensions de mon véhicule. Tout cela m’a coûté une fortune. Pa ti fasil ditou. Même les conducteurs les plus expérimentés ne peuvent éviter ces nids-de-poule », ajoute-t-il.
Sanjay, chauffeur de taxi, qui doit transporter une habitante de la région deux fois par semaine à l’hôpital Yves Cantin, Rivière-Noire, pour des soins après un accident de la route, est lui aussi très remonté. « Je suis obligé de faire le tour et passer par la route principale pour éviter la rue Jacarandas, Morcellement Carlos. »
Des habitants de la région demandent aux autorités concernées de faire le nécessaire. Car les dommages causés par les nids-de-poule pourraient causer un problème majeur, selon eux.
Related News