Blessé, il a été conduit à l’hôpital Dr A. G. Jeetoo. Il a confié à son père, Jean-Marie Clency, que l’autobus roulait vite et que la porte arrière s’est ouverte.
Le père, lui, ne comprend toujours pas ce qui s’est passé. «L’autobus devait être rempli pour qu’il soit tombé», pense-t-il. C’est ce qui l’amène à insister sur la nécessité de la sécurité.
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