Le ministre des Infrastructures nationales, Bobby Hurreeram, a expliqué qu’en raison de problèmes géotechniques difficiles rencontrés pour le pont A1-M1 lors de l’inter-enquête avant la construction, il a été constaté qu’il y a un problème s’agissant de la stabilité de la falaise de la vallée de Grande-Rivière-Nord-Ouest. Il a été démontré, a-t-il indiqué, que la sécurité du pont, dans son format initial, pourrait être affectée en raison de l’effondrement de la falaise.
Afin d’éviter tout problème accidentel, a-t-il avancé, une refonte complète a été effectuée au cours de laquelle des pieux massifs ont été déplacés à 20 mètres des deux falaises. Ce qui a, selon lui, entraîné un certain retard.
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