Dans ce contexte, le ministère de l’Environnement travaille actuellement sur des nouveaux règlements visant à enlever le ‘fitness’ des véhicules fumigènes et bruyants. La possibilité que ces types de véhicules soient saisis est aussi étudiée par les autorités. De janvier à mars de cette année plus de 100 propriétaires de véhicules fumigènes ont été verbalisés. Ils ont écopé d’une amende de Rs 1 000 chacun. La possibilité que cette amende passe à Rs 10 000 n’est pas à écarter. En ce qui concerne les véhicules tapageurs, l’amende varie entre Rs 10 000 et Rs 25 000.
La police de l’Environnement qui sillonne l’île pour décourager cette pratique dit noter que ce sont des jeunes vivant dans les régions urbaines en majorité qui modifient le pot d’échappement de leurs véhicules. Ces jeunes opèrent normalement en groupes. Les éléments de la police de l’Environnement qui surveillent ces types de véhicules chaque mardi et jeudi dans ces régions, se proposent maintenant d’étendre leurs actions à travers l’île. Ils interviendront aussi dans les lieux très fréquentés par les automobilistes pour mener à bien leur projet. Plusieurs endroits ont déjà été identifiés par les éléments de cette unité d’invention. Parmi on compte, Nouvelle-France, Sorèze, Terre-Rouge, etc.
L’idée est de sévir contre les véhicules fumigènes et les motocyclettes bruyantes mais sans pour autant bloquer la circulation routière. C’est, d’ailleurs, pour cette raison que les éléments de cette unité vont être postés dans des aires de stationnement (laybys) pour interdire des véhicules qui émettent de la fumée opaque de rouler. Selon la police de l’Environnement, des Prohibition Notices seront émis à l’encontre des propriétaires de véhicules fumigènes dont le taux d’opacité dépasse la barre de 70 %. Une fois que le propriétaire d’un véhicule a été verbalisé, il n’aura plus le droit de rouler son véhicule. Pour qu’il puisse reprendre la route, il lui faudra repasser à la NTA pour obtenir les autorisations nécessaires.
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