Or, le délai accordé à Leckram Nundlall, le propriétaire de l’hôtel, pour restituer l’espace public que lui a octroyé l’ancien régime a expiré le samedi 21 février.
Un représentant du ministère du Logement et des Terres s’est rendu sur place, ce lundi 23 février. Il devra soumettre un rapport au ministère. Le parquet décidera par la suite de la marche à suivre.
Jusqu’ici, seul le grillage métallique vert posé sur la barrière en bois a été enlevé durant la semaine écoulée. L’espace vert privatif aménagé pour donner un accès direct à la plage n’avait, ce week-end, toujours pas été rasé.
Selon une source au ministère, si Leckram Nundlall ne respecte pas ce qui lui est demandé dans la mise en demeure, l’Etat ira de l’avant avec la destruction de son jardin.