Des abus ont Ă©tĂ© relevĂ©s dans la gestion des dispositifs dâimmobilisation de vĂ©hicules, plus connus sous le nom de sabots de Denver. Il nous revient que des avis de clampage auraient Ă©tĂ© annulĂ©s aprĂšs avoir Ă©tĂ© dĂ»ment remplis, ce qui « donne lieu Ă des soupçons » dâinterventions de hauts gradĂ©s de la force policiĂšre. Le commissaire de police veille au grain.
Les Casernes centrales insistent sur une rigueur absolue dans la gestion des frais de retrait de sabots sur les vĂ©hicules. Les paiements doivent ĂȘtre effectuĂ©s uniquement auprĂšs des agents dĂ©signĂ©s aux postes de police, avec remise dâun reçu en trois exemplaires. Toute transaction doit ĂȘtre consignĂ©e dans les registres prĂ©vus Ă cet effet, et un contrĂŽle strict est imposĂ© lors du transfert des fonds Ă la section des finances.
Autre rappel de taille⊠câest que ni les commandants de division ni les officiers responsables des postes de police nâont le pouvoir dâannuler les frais dâimmobilisation. Le communiquĂ© qui est sans Ă©quivoque soutient quâaucun pouvoir discrĂ©tionnaire ne leur a Ă©tĂ© accordĂ© par les rĂšglements en vigueur.
Un signal fort pour mettre fin aux passe-droits et aux cas de using office for gratification dans un systĂšme oĂč les contacts ne devraient plus faire sauter les contraventions.