Elle s'est intéressée à l'opération de sauvetage et aux remorqueurs de la Mauritius Ports Authority (MPA).
Le capitaine Coopen, directeur adjoint du département «Shipping», a révélé que les remorqueurs du port ne sont pas des «salvage tugs» et que Maurice n'a pas d'expertise pour une opération de sauvetage ou renflouage (salvage). «Pour le MV Benita, nous sommes chanceux d'avoir eu les remorqueurs Coral Sea Fos et ensuite le Ionian Sea Fos.»
D'ajouter que les remorqueurs du port étaient soient en réparation soient aidaient à manœuvrer les bateaux au port, comme rapporté par l'ancien Port Master, le capitaine Barbeau.
Appelé à la barre, le commandant Manu de la National Coast Guard, a maintenu que la National Coast Guard (NCG) a, à cinq reprises, alertée le MV Wakashio sans aucune réponse, depuis 18 h 15, ce 25 juillet fatidique. Ce n'est qu'à 19 h 25, alors que l'échouement avait déjà eu lieu, qu'une ligne de communication a finalement pu être établie avec le vraquier.
Qui était en poste à Pointe du Diable, à quelle heure il a pris ses fonctions ? À quelle heure il est reparti ? Autant de questions qui sont restées sans réponse faute d'informations précises. Le commandant Manu sera de nouveau entendu demain à la reprise, après le déjeuner. Avant, à 10 heures, sera au tour de l'équipage d'être, entendu.
Les audiences qui ont débuté aujourd'hui sont présidées par l'ancien juge Abdurrafeek Hamuth, accompagné de ses deux assesseurs, Jean Mario Genevieve, Marine Engineer, et Johnny Lam Kai Leung, Marine Surveyor.
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