Le design ressemble naturellement à celui des autres modèles, sauf que les feux arrière conservent leur forme de l’ancienne génération. Leur intégration avec le coffre de la décapotable est sans doute en cause. Au fait, le volume de chargement se chiffre à 215 litres, mais fond à 160 litres lorsqu’on veut conduire à l’air libre.
En appuyant sur un bouton, le toit souple peut s’ouvrir partiellement jusqu’à 40 cm, comme c’était le cas avant, sinon se rétracter complètement en 18 secondes, et ce, en roulant à une vitesse maximale de 30 km/h. Un petit déflecteur aide à réduire les turbulences dans l’habitacle.
Ici, on retrouve un seul écran, de forme circulaire et mesurant 9,5 pouces, avec technologie DELO. Il n’y a plus rien devant le conducteur à part un affichage tête haute.
Ledit écran est animé par un tout nouveau système d’infodivertissement et accompagné d’un assistant vocal appelé « Spike ». Autre détail intéressant : MINI a ramené l’indicateur qui peut nous dire combien de temps on passe avec le toit baissé. Enfin, des « modes d’expérience » avec sons et lumières sont disponibles pour agrémenter le décor.
Pour ce qui est des moteurs, la version de base exploite un quatre cylindres turbocompressé de 2 litres qui fournit 161 chevaux et 184 lb-pi. Plus sportive, la Cooper S grimpe la puissance à 201 chevaux et le couple, à 221 lb-pi. L’unique boîte de vitesses au menu est de type à double embrayage avec sept rapports, car MINI a abandonné la manuelle. L’accélération de 0 à 100 km/h s’effectue en 8,2 ou 6,9 secondes selon la version choisie.
Une MINI John Cooper Works Cabriolet suivra ultérieurement. Toutefois, oubliez une variante électrique.
Attendue chez les concessionnaires américains dès janvier, la MINI Cabriolet 2025 a aussi été annoncée pour le marché canadien, mais sa date d’arrivée et ses prix restent à confirmer.
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