À titre de comparaison, avant 2014, seules 3 372 voitures de contrat étaient sous licence, ce qui, selon Osman Mahomed, témoignait d’une approche plus stricte et prudente.
Selon les informations recueillies auprès de la National Land Transport Authority (NLTA), aucune enquête n’a été menée pour évaluer la demande réelle et le besoin de ces services sur le marché. La NLTA ne dispose d’aucun registre permettant d’identifier qui a recommandé les candidatures de voitures de contrat. De plus, il est impossible d’obtenir facilement des informations sur le nombre de licences délivrées spécifiquement pour opérer avec les hôtels et les tours opérateurs, a soutenu le ministre.
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