Le RSO contribuera, avec l'étude scientifique de la route et du système de circulation, à trouver des moyens pour réduire le nombre d'accidents, voire leur gravité.
Trois piliers principaux sont concernés: la recherche, le renforcement des capacités et la sensibilisation.
Le gouvernement pourra suivre les progrès accomplis dans la réalisation de ses objectifs. De même qu'identifier les meilleures pratiques et s'assurer que les nouvelles mesures réglementaires de sécurité réduisent le nombre de victimes.
50% d'accidents en moins.
Pour le ministre du Transport, Alan Ganoo, l'objectif est de réduire le nombre d'accident sur nos routes par 50% d'ici 2025. « La route est un espace commun. Il faut pouvoir le partager », a-t-il déclaré.
Le TMRSU et l'UoM représentent ainsi deux collaborateurs majeurs au RSO.
Les principales responsabilités de la TMRSU consisteront à rechercher un soutien financier pour garantir la viabilité du RSO. Il s'agira aussi de mettre à disposition des données fiables et complètes sur la sécurité routière à des fins de recherche.
L'UoM, pour sa part, agira comme secrétariat technique du RSO. Elle accueillera un bureau doté de ressources importantes et d'un personnel compétent dans divers domaines d'expertise.
Un comité, créé au niveau du ministère du Transport, sera chargé de superviser les activités confiées au secrétariat technique et de gérer les fonds économiques disponibles afin d'atteindre la collaboration multi-sectorielle nécessaire au fonctionnement du RSO.
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