Selon les recoupements d’informations, Brian Burns n’a pas respecté une des conditions imposées pour sa remise en liberté. En effet, alors qu’il doit faire acte de présence au poste de police de Piton entre 6 heures et 18 heures, il s’y est rendu en retard hier, soit 18h35.
C’est le 25 mai dernier, soit une semaine après avoir perdu son poste de CEO d’Iframac, que Brian Burns a été arrêté dans le sillage de l’affaire BAI. Il répondait à des charges de Computer Misuse, Money Laudering et Conspiracy to Defraud. Il a été libéré le lendemain contre une caution de Rs 125 000 et une reconnaissance de dette de Rs 5 millions.