Cela, après avoir participé à une activité de karting au Casela Nature and Leisure Park.
La jeune fille s'était rendue à ce parc de loisirs en compagnie de six de ses camarades pour faire du kart. «J'ai eu des problèmes au troisième tour et c'est là que j'ai dérapé. J'ai heurté la barrière de sécurité lors du virage», relate cette étudiante à l'express.
Le médecin lui a conseillé un repos total de trois mois. «Je déplore le fait que la barrière de sécurité ne soit plus en caoutchouc. Je ne comprends pas ce changement. Je suis carrément rentrée dans un tuyau», dit cette habitante de Grande-Rivière. Elle dit ne pas pouvoir poursuivre ses études universitaires pendant ce trimestre à cause de cet accident et qu'elle devra tout recommencer.
Cet accident est une première pour elle. «J'ai déjà fait du kart au Champ-de-Mars et il n'y avait pas de soucis», dit-elle. Selon nos recoupements, la police n'a pas encore pris la version des faits de la plaignante, bien qu'elle ait porté plainte. Sa famille n'écarterait pas la possibilité de réclamer des dommages au Casela Nature and Leisure Park.
Sollicitée, Natacha Mudhoo, responsable de communication au parc de loisirs, soutient que le groupe est en permanente communication avec les parents de la jeune femme blessée. «Le kart roule à une vitesse maximale de 35 km/h. On est navré qu'il y ait eu un incident. Mais malheureusement, la jeune fille n'a pas bien négocié le virage. Elle a perdu le contrôle de son kart en fonçant directement sur la barrière», explique notre interlocutrice.
Elle poursuit en disant que les mesures de sécurité seront davantage renforcées mais maintient que la barrière de sécurité était bel et bien en plastique. La jeune fille a retenu les services de Me Jean-Claude Bibi.
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