Une situation longtemps décriée par plusieurs chauffeurs qui n’arrivent pas à joindre les deux bouts avec leurs emprunts bancaires et leurs dépenses courantes. Il y a aussi les aide-chauffeurs qui travaillent avec eux et qui se sont retrouvés sans le sous.
« C’est obligatoire pour un van scolaire d’avoir un aide-chauffeur. Nous ne recrutons pas les aide –chauffeurs à plein temps mais ils ont aussi besoin d’argent également. Mais pour le mois de novembre et de décembre, beaucoup de parents n’ont pas payé les propriétaires de van scolaire. » avance Shameem Shahadut, de l’Association des vans scolaires.
Related News