La capacité de stockage totale prévue est d’environ 12 000 tonnes métriques. En prélude à la mise en chantier du projet, la STC se propose de retenir les services d’une firme de consultants internationale. Un exercice d’appel d’offres a déjà été initié avec la date butoir pour la soumission étant le 22 janvier.
Actuellement, quelque 90 000 tonnes de GPL sont importées chaque année. Pour autant, la STC ne dispose pas de réservoirs de stockage à terre, et loue donc un terminal pour le GPL en vrac d’une capacité de stockage de 15 000 tonnes auprès d’un particulier dans la zone portuaire. Le GPL importé par la STC est transféré du navire au terminal en question, avec un délai d’exécution de 10 000 tonnes toutes les cinq semaines.
Le produit est par la suite transféré par petites parcelles depuis le terminal GPL via un pipeline jusqu’aux réservoirs à terre des sociétés gazières locales, situées à 2,1 kilomètres de la jetée, pour la distribution ultérieure dans le pays. Les sociétés gazières locales disposent d’une capacité totale de stockage d’environ 4 600 tonnes dans le port.
La firme de consultants sera appelée à épauler la STC dans la préparation des documents d’appel d’offres pour la construction du terminal de stockage de GPL.